Emmanuel Saulnier développe un travail essentiellement sculptural, en dialogue constant avec la pratique du dessin. Bien que le verre soit son matériau de prédilection, l’artiste explore le potentiel de la matière au sens large. Son œuvre se confronte à des problématiques telles que la mémoire collective, la présence et la disparition. - Katell Jaffrès

Le travail d’Emmanuel Saulnier a fait l’objet de nombreuses expositions personnelles et collectives, et de commandes publiques. En 2018, il présente au côté de l’artiste Rémy Yadan une œuvre dans le cadre de L’art dans les Chapelles à Noyal-Pontivy ; En hommage à Claude Erignac, il conçoit le mémorial « 1 homme, 1 place » à Ajaccio. En 2017, la Ginza Maison Hermès de Tokyo lui consacre une exposition personnelle, ainsi que le Palais de Tokyo avec ‘Black dancing’. En 2016 il participe à l’exposition ‘Le corps de la sculpture’ à la Biennale de la Sculpture de Yerres ; en 2015 à ‘Simple forms, Contemplating Beauty’ au Mori Museum à Tokyo ; en 2014 à ‘Formes simples’ au Centre Pompidou – Metz et ‘A posteriori’ au Centre d’art contemporain de la Maréchalerie à Versailles. En 2013, ses œuvres sont vues au Musée national d’Art moderne Centre Georges Pompidou. Il dirige également un atelier à l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris.