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Charles Fréger, KASEDORI 2 Kaminoyama, Yamagata prefecture, 2013-2015
Born in 1975, in Bourges (France)
Lives and works in Paris
Charles Fréger has been seeking to establish a collection entitled: “Portraits photographiques et uniformes”. His series devoted to groups of sportsmen, soldiers or students, taken in Europe and across the world, focuses particularly on what they are wearing, on their uniform. His first series was called “Faire face”, as for him the meeting of the photographer and the model takes the form of a subtle clash so to better appreciate the substance of a being in the world and of its belonging to a social body. Solidarity and team spirit are the motivation for these individuals where the outfit, both the pose and the clothing, embodies “Looking the part” or “Judging by the cover”.
But the uniform, static side of the photographic image, the side which aims to neutralise the presence of the photographer to benefit the faithful recording of the subjects, is only apparent. The choice of poses, the detail in the hands or in the lines on the faces, as well as the importance given to the composition of the image restore the intensity of the presence, the adequacy between the person and a universe marked by its codes and its place in a society. Exoticism has a part in it, whether inside as for the different army corps or sports teams or abroad at the Peking opera or with the African tribes. This reinforces the game of diversity and otherness which is one of the principles of : “Portraits photographiques et uniformes”.
Didier Mouchel
Charles Fréger
Carole Saturno
2017
9782361935078
Leporello book, for Children and adult.
À la fois majestueuses, pleines de finesse et inattendues, les photographies de Charles Fréger possèdent toujours un parfum foudroyant d’authenticité. Dans cet ouvrage, on se retrouve en Inde avec la série « Painted Elephants » : magnifiquement parés de peinture, de tissus et de bijoux à l’occasion du Jaipur Elephant Festival, les éléphants se prêtent au jeu de la photographie et invitent le lecteur au voyage et au rêve.
Edition Les Grandes Personnes
Charles Fréger
Ryoko Sekigushi et Toshiharu Ito
2015
9780500517994
Après Empire, Wilder Mann et Bretonnes, c’est au japon que Charles Fréger poursuit son fascinant inventaire des communautés humaines. Yokainoshima (littéralement “L’île aux Monstres”) se penche sur L’extraordinaire variété et la richesse des masques, costumes, figures et bestiaires composant les tableaux vivants qui célèbrent les rites saisonniers de fertilité et d’abondance, lesquels perdurent étonnamment dans une société de moins en moins rurale. Dans les campagnes paysannes et les villages de pêcheurs de tout l’archipel, on endosse des tenues élaborées, créées à l’aide de tissus, de branchages, de paille tressée et d’autres éléments naturels, pour mettre en scène gestes rituels ou danses peuplées de monstres, divinités, démons et autres yôkaï qui hantent l’imaginaire japonais. Ordonnées au fil des saisons, les photographies de Charles Fréger combinent l’acuité du regard documentaire et l’art de la scénographie dans un style parfaitement neuf et singulier En outre, à travers les précieux commentaires d’un anthropologue et d’un spécialiste de la culture traditionnelle nippone, c’est tout l’arrière-plan des fêtes locales, des chorégraphies et des rites qui culmine dans ces costumes incroyablement éclectiques que magnifie l’objectif du photographe.
Charles Fréger
Marie Darrieussecq et Yann Guesdon
2015
978-2-330-05044-3
En quelque vingt années, Charles Fréger s’est imposé comme le portraitiste des communautés humaines, dans leurs dimensions collective et individuelle, dressant, par le biais de l’inventaire photographique, des typologies de manières d’habiter, pour les individualités qui la composent, sa communauté d’héritage ou d’élection. Signe visuel d’appartenance et de ralliement, l’uniforme, sinon le costume, du plus protocolaire au plus « sauvage », constitue le motif central de son uvre. L’inventaire ici dressé est celui des coiffes bretonnes : il impose la vitalité et la contemporanéité de traditions que l’on aurait trop vite fait de remiser au rang de folklore.
Charles Fréger
Robert MacLiam Wilson
2012
978-88-89412-58-9
Chaque année, dans toute l’Europe, de la France à la Bulgarie, de la Finlande à la Sardaigne, du Portugal à la Grèce en passant par la Suisse et l’Allemagne, des hommes, le temps d’une mascarade multiséculaire, entrent littéralement dans la peau du ” sauvage “. En devenant ours, chèvre, cerf ou sanglier, homme de paille, diable ou monstre aux mâchoires d’acier, ces hommes célèbrent le cycle de la vie et des saisons. Leurs costumes, faits de peaux de bêtes ou de végétaux, sertis d’ossements ou ceinturés de cloches, chapeautés de cornes ou de bois de cerfs, sidèrent par l’extraordinaire diversité et la prodigieuse beauté de leurs formes. Les portraits photographiques d’hommes sauvages de Charles Fréger subliment cette suspension provisoire de la normalité qu’est la mascarade et révèlent une tradition méconnue d’une étonnante richesse. Toutes les figures photographiées sont décrites, en fin d’ouvrage, dans le contexte du rituel auquel elles se rattachent. Ces textes ont été rédigés en collaboration avec le Musée international du Carnaval et du Masque situé à Binche en Belgique, et sont illustrés des silhouettes créées pour l’occasion par Geneviève Gauckler.
Edition Thames & Hudson
Charles Fréger
2014
978-2-9530742-4-6
À l’occasion de l’exposition “Fabula” imaginée pour le Studio, Fotokino publie un flipbook de Charles Fréger. La séquence a été réalisée dans un théâtre traditionnel de Séoul, en Corée, et met en scène un « lion » et son dresseur dans une danse furtive.
Né au XVIIIe siècle en Corée, le Bongsan talchum est l’une des dernières formes vivantes de théâtre populaire masqué de la péninsule. Intimement lié au chamanisme, il se compose de sept {gwajang}, des scènes qui mêlent le chant, la danse, la musique et les dialogues. La danse du lion en est la cinquième. Elle met en scène l’animal chassant les mauvais esprits et semant la terreur parmi des moines corrompus. Supplié, le lion leur accorde son pardon et danse avec eux.
Charles Fréger
Farid Chenoune, Felipe Oliveira Baptista et Raphaëlle Stopin
2013
978-3-86930-702-2
Charles Fréger
Raphaëlle Stopin
2013
978-2-35733-2768
La villa Noailles expose la série Outremer réalisée de 2011 à 2013 par le photographe français Charles Fréger. Dans la lignée des séries Portraits photographiques et uniformes, il a photographié les soldats de la légion étrangère à Djibouti, de la base navale de Nouméa, du Porte-avions Charles de Gaulle et de la base navale de Toulon.
Editeur Villa Noailles / Archibooks
Charles Fréger
Prosper Keating
2010
978-3-86828097-5
Charles Fréger poursuit depuis dix ans un travail d’une grande cohésion formelle et conceptuelle autour de groupes de jeunes gens en uniforme ou en costume (musiciens, ouvriers, sportifs, majorettes…). Avec la série ” Empire “, il s’intéresse ici aux régiments les plus prestigieux d’Europe.
Après avoir réalisé des séries consacrées à des groupes de nageurs, d’élèves sages-femmes, de légionnaires, de patineuses, de marins, de balayeurs ou encore de lutteurs de sumo, Charles Fréger s’est intéressé, de 2004 à 2007, aux gardes royales, princières, républicaines ou pontificales européennes. Ce projet de longue haleine et d’une grande ambition, initié avec les emblématiques grenadiers de la garde royale britannique à Wellington Barracks, marque une forme d’aboutissement dans le travail de l’artiste. En effet cette encyclopédie de tenues militaires magnifiques et prestigieuses directement issues des batailles de l’Europe napoléonienne, se prête parfaitement – avec sa symbolique évoquant apparat et protocole – à la démarche de l’artiste.
Grâce à ses prises de vue d’une grande similarité en matière de pose, de cadrage, de lumière, de couleurs, et à ses modèles semblables par leur âge et leur uniforme, Charles Fréger cherche en effet à mettre en lumière la singularité, l’individualité et la poésie des jeunes gens dont il dresse le portrait.
Charles Fréger
Stéphane Bern-Schlanger and Didier Mouchel
2006
2-919923-13-7
Avec Lux, Charles Fréger (1975) a choisi de réduire les collectivités aux individus qui les constituent en réalisant des séries de portraits à la typologie semblable. Sa démarche relativise ainsi la notion d’uniformisation qu’implique la constitution de groupes sociaux.
Edition Mudam