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VISCERA, 2018, Médias mixtes avec plumes de faisan dans un cabinet antique, 122 x 180 x 70 cm
Du 14 mai au 2 octobre 2022
Musée de l'Hospice Comtesse – Lille, France
Exposition du 29 mars au 7 mai 2022
Galerie Les filles du calvaire
Du 5 septembre 2020 au 7 janvier 2021
Fondazione Berengo, Murano, Italie
Du 14 mars au 20 décembre 2020
Fondation Villa Datris Paris - Espace Monte-Cristo
Du 1 décembre 2019 au 1 novembre 2020
Gewerbe Museum, Winterthur, Suisse
Du 20 juillet au 25 octobre 2020
Harewood House, Yorkshire, GB
Du 21 mars au 14 août 2020
Harewood House Trust
Du 1er décembre 2019 au 6 juin 2020
Gewerber Museum Winterhur, Suisse
Du 14 septembre au 5 janvier 2020
Palais Idéal du Facteur Cheval, Hauterives
Exposition du 30 mars au 3 novembre 2019
Temple Newsam House | Leeds
Exposition du 31 mai au 3 novembre 2019
Fondation Villa Datris - France
Exposition du 28 septembre 2018 au 25 août 2019
Chiostro del Bramante | Rome, Italy
Exposition du 10 juin au 12 août 2019
Royal Academy of Arts | London
Exposition du 21 juin au 21 juillet 2019
Hignell Gallery, London (UK)
Exposition du 16 mars au 2 juin 2019
Royal West of England Academy | Bristol
Née en 1964
Vit et travaille à Londres
Kate MccGwire est une artiste basée à Londres qui a passé son enfance dans les Norfolk Broads. Les premiers souvenirs de Kate MccGwire de ce paysage distinct, dominé par ses zones humides, ses voies d’eau serpentines et la faune qui vit le long des eaux de la région, constituent les fondements de sa pratique, qui s’inspire des cycles, des motifs et des dualités de la nature.
Prenant des plumes comme principal médium, Kate MccGwire passe par des processus intensifs de collecte, de tri et de nettoyage de ses matériaux pour créer des formes musclées et tordues qui rappellent la sculpture classique et les créatures de la mythologie. Ces structures abjectes explorent les dualités de l’esthétique, en étant simultanément séduisantes et repoussantes ; de la forme, en étant simultanément organique et abstraite ; et du mouvement, en paraissant fluide tout en étant statique. Dans sa pratique, MccGwire célèbre les plumes, qui sont généralement perdues ou jetées, comme le moyen par lequel elle articule des anatomies énigmatiques qui explorent l’espace physique et introspectif.
Les » créatures limites » hybrides de l’artiste (comme les appelle le Dr Catriona McAra) remplissent souvent leurs cadres et semblent s’y tordre. À ce sujet, MccGwire a déclaré : » Je suis intéressée par le jeu des opposés qui traverse comme un leitmotiv tout ce que je fais. C’est comme si l’œuvre avait besoin de cette tension pour créer son propre équilibre interne ; c’est pour moi l’expression de la dualité que je vois tout autour de moi et les matériaux que je choisis doivent être capables de l’incarner physiquement.
Intitulées « Retch », « Gag », « Heave », « Smother » et « Fuse », les installations sculpturales de Kate MccGwire font souvent référence au grotesque féminin. Ressemblant à des fonctions corporelles, les œuvres jaillissent souvent de l’architecture domestique : poêles, cheminées et foyers, comme envoûtés.
En ce qui concerne le processus de création, Kate MccGwire a décrit son processus distinct de mise en plumes comme fascinant et hypnotique : « Je m’y perds pendant des heures, travaillant instinctivement – vous ne pouvez pas prévoir comment disposer les plumes, et vous ne pouvez pas vraiment l’enseigner à quelqu’un. Chaque plume contribue au motif général d’une pièce, et c’est ce sens implicite du mouvement dans les couleurs changeantes et la courbe douce de chaque filament qui donne vie à l’œuvre. Cette étape finale s’appuie sur les rituels de l’artisanat, sur le lien entre la main et l’œil et sur la sérendipité naturelle qui se produit lorsque l’on s’immerge totalement dans la réalisation d’une idée ».
Kate MccGwire
2013
Foreword by Judith Collins
‘In contrast to her site-specific sculptures, which respond to the display conditions they are given, MccGwire in 2008 began a series of smaller feather sculptures encased in antique vitrines. This allows her to interrogate museum and gallery display methods, since vitrines are the normal mode of presentation for scientific and natural history museum collections. Vex (2008) was the first of these, made with pigeon feathers. A contorted, feathered form is set in a museum-like glass and wood cabinet that seems slightly too small for it. The viewer approaches with a sense of anxiety, as though stepping too close will cause the apparently headless creature to rear up and break free of its bondage. Something ancient and extinct seems to have the power to come alive.’
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